Avec cette déclaration historique, l'Europe devient la première région du monde à avoir conclu un accord entre les autorités publiques et les parties prenantes privées sur une vaste plateforme de décarbonation de l'aviation.
Airbus, Air France-KLM, ATR, Dassault Aviation, le Groupe ADP, Safran et Thales confirment leur engagement en faveur d'une approche collective pour relever les défis de la transition vers une aviation durable.
Les leaders de l'industrie européenne Airbus, Air France-KLM, ATR, Dassault Aviation, le Groupe ADP, Safran et Thales se félicitent de la déclaration faite à Toulouse par la Commission Européenne et les États membres sous la présidence française de l'Union Européenne. Ensemble :
- Nous saluons les engagements de la Commission européenne et des États membres à travailler avec l'industrie aéronautique européenne pour parvenir à la décarbonation du secteur d'ici 2050, conformément à la feuille de route Destination 2050 ;
Airbus, Air France-KLM, ATR, Dassault Aviation, le Groupe ADP, Safran et Thales confirment leur engagement en faveur d'une approche collective pour relever les défis de la transition vers une aviation durable.
Les leaders de l'industrie européenne Airbus, Air France-KLM, ATR, Dassault Aviation, le Groupe ADP, Safran et Thales se félicitent de la déclaration faite à Toulouse par la Commission Européenne et les États membres sous la présidence française de l'Union Européenne. Ensemble :
- Nous saluons les engagements de la Commission européenne et des États membres à travailler avec l'industrie aéronautique européenne pour parvenir à la décarbonation du secteur d'ici 2050, conformément à la feuille de route Destination 2050 ;
- Nous continuerons à investir dans la maturation, le développement et la mise en œuvre des technologies de décarbonation - notamment les opérations, les avions et les moteurs de nouvelle génération, les carburants aéronautiques durables (SAF) et les carburants synthétiques - et nous nous tournerons vers les institutions pour soutenir le développement et le déploiement des innovations, notamment par le biais d'instruments de partenariat de recherche public-privé éprouvés (tels que Clean Aviation, SESAR et CORAC), ainsi que de politiques de soutien appropriées pour accélérer le renouvellement de la flotte et l'incorporation des SAF dans des conditions économiques viables pour toutes les parties prenantes ;
- Nous exhortons la Commission européenne à mettre en œuvre les alliances qui seront essentielles pour aligner l'ensemble de l'écosystème autour de cette ambition commune, notamment l'Alliance industrielle pour la chaîne de valeur des carburants renouvelables et à faible teneur en carbone, l'Alliance pour une aviation à émission zéro et l'Alliance européenne pour les matières premières ;
- Nous saluons également l'appel lancé à tous les partenaires du monde entier pour qu'ils travaillent ensemble à l'adoption, lors de la 41e assemblée de l'OACI, d'un objectif ambitieux à long terme (LTAG) pour l'aviation internationale ;
- Nous demandons que les engagements pris par l'Union européenne soient adoptés dans le monde entier pour accélérer la décarbonation de notre industrie. Dans l'intervalle, nous demandons instamment à l'Union européenne de mettre en œuvre des mécanismes visant à garantir des conditions de concurrence équitables et à éviter toute fuite de carbone liée à une distorsion de la concurrence entre les acteurs de l'écosystème mondial de l'aviation.
Cette déclaration commune souligne le souhait d'établir une carte européenne définissant les volumes de gisement de biomasse disponibles pour la production de SAF, ainsi que les capacités de production de carburant synthétique. Elle appelle à mieux rechercher les technologies aéronautiques de rupture (avions, moteurs), à mettre en place des mécanismes de régulation pour faciliter le remplacement des avions et à poursuivre les initiatives d'optimisation des trajectoires et de la consommation de carburant.
Cette déclaration commune souligne le souhait d'établir une carte européenne définissant les volumes de gisement de biomasse disponibles pour la production de SAF, ainsi que les capacités de production de carburant synthétique. Elle appelle à mieux rechercher les technologies aéronautiques de rupture (avions, moteurs), à mettre en place des mécanismes de régulation pour faciliter le remplacement des avions et à poursuivre les initiatives d'optimisation des trajectoires et de la consommation de carburant.